コンポーネント:
治療オプション:
Militian Inessa Mesropovna 、薬局による医学的評価、 最終更新日:29.03.2022
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同じ成分を持つトップ20の薬:
各フィルムコーティング錠には、300 mgのアバカビル(硫酸塩として)、150 mgのラミブジン、300 mgのジドブジンが含まれています。.
⁇ 形剤の完全なリストについては、セクション6.1を参照してください。.
アバカビル/ラミブジン/ジドブジンは、ヒト免疫不全ウイルス(HIV)に感染した成人患者の治療に適応されます(セクション4.4および5.1を参照)。. この固定された組み合わせは、同じ用量で別々に使用される3つの成分(アバカビル、ラミブジン、ジドブジン)を置き換えます。. 治療の最初の6〜8週間は、アバカビル、ラミブジン、ジドブジンを別々に摂取して治療を開始することをお勧めします(セクション4.4を参照)。. この固定された組み合わせの選択は、治療を順守するための潜在的な基準だけでなく、何よりも、これらの3つのヌクレオシド類似体の摂取に関連する期待される有効性とリスクにも基づく必要があります。.
アバカビル/ラミブジン/ジドブジンの利点の実証は、主に疾患の進行していない段階で行われた研究の結果に基づいており、抗レトロウイルス薬はほとんど受けていないか、ほとんど受けていません。. ウイルス量が多い患者(> 100,000コピー/ ml)では、この治療法の選択に特別な注意を払う必要があります(セクション5.1を参照)。.
利用可能なデータに基づいています。, これら3つのヌクレオシドの固定結合で得られるウイルス学的抑制は、特にブーストされたプロテアーゼ阻害剤または逆転写酵素の非ヌクレオシド阻害剤を含む他の多剤療法で得られるものよりも小さい可能性があるようです。 ; その結果。, アバカビル/ラミブジン/ジドブジンの使用は、特定の状況でのみ考慮されるべきです。 (例えば。, 結核との同時感染の場合。).
アバカビルによる治療を開始する前に、HLA-B * 5701対立遺伝子のスクリーニングを、民族に関係なく、HIV感染患者で行う必要があります(セクション4.4を参照)。. アバカビルは、HLA-B * 5701対立遺伝子の患者には使用しないでください。.
アバカビル/ラミブジン/ジドブジンは、ヒト免疫不全ウイルス(HIV)に感染した成人患者の治療に適応されます(セクション4.4および5.1を参照)。. この固定された組み合わせは、同じ用量で別々に使用される3つの成分(アバカビル、ラミブジン、ジドブジン)を置き換えます。. 治療の最初の6〜8週間は、アバカビル、ラミブジン、ジドブジンを別々に摂取して治療を開始することをお勧めします(セクション4.4を参照)。. この固定された組み合わせの選択は、治療を順守するための潜在的な基準だけでなく、何よりも、これらの3つのヌクレオシド類似体の摂取に関連する期待される有効性とリスクにも基づく必要があります。.
アバカビル/ラミブジン/ジドブジンの利点の実証は、主に疾患の進行していない段階で行われた研究の結果に基づいており、抗レトロウイルス薬はほとんど受けていないか、ほとんど受けていません。. ウイルス量が多い患者(> 100,000コピー/ ml)では、この治療法の選択に特別な注意を払う必要があります(セクション5.1を参照)。.
利用可能なデータに基づいています。, これら3つのヌクレオシドの固定結合で得られるウイルス学的抑制は、特にブーストされたプロテアーゼ阻害剤または逆転写酵素の非ヌクレオシド阻害剤を含む他の多剤療法で得られるものよりも小さい可能性があるようです。 ; その結果。, アバカビル/ラミブジン/ジドブジンの使用は、特定の状況でのみ考慮されるべきです。 (例えば。, 結核との同時感染の場合。).
アバカビルによる治療を開始する前に、HLA-B * 5701対立遺伝子のスクリーニングを、民族に関係なく、HIV感染患者で行う必要があります(セクション4.4を参照)。. アバカビルは、HLA-B * 5701対立遺伝子の患者には使用しないでください。.
末期腎不全の患者。.
ジドブジン、ABACAVIR / LAMIVUDINE / ZIDOVUDINE MYLAN 300 mg / 150 mg / 300 mgの存在により、フィルムコーティングされた錠剤は、好中球レベルが異常に低い(<0.75 x 109 / l)または異常に低い患者では禁 ⁇ です。ヘモグロビンレベル<7。.
Les mises en garde et précautions particulières d’emploi liées à l’abacavir, la lamivudine et la zidovudine sont décrites ci-dessous. Il n’y a pas de mise en garde ni de précaution supplémentaire spécifique à l’association fixe d’Abacavir/Lamivudine/Zidovudine. Réactions d’hypersensibilité (voir également rubrique 4.8) :
L’abacavir est associé à un risque de réactions d’hypersensibilité (voir rubrique 4.8) caractérisées par de la fièvre et/ou une éruption cutanée ainsi que d’autres symptômes traduisant une atteinte multiorgane. Des réactions d’hypersensibilité ont été observées avec l’abacavir ; certaines d’entre elles ont mis en jeu le pronostic vital du patient et, dans de rares cas, ont été fatales lorsqu’elles n’ont pas été prises en charge de façon appropriée.
Le risque de développer une réaction d’hypersensibilité à l’abacavir est élevé chez les patients porteurs de l’allèle HLA-B*5701. Cependant, des réactions d’hypersensibilité à l’abacavir ont été rapportées chez des patients non porteurs de cet allèle mais avec une fréquence faible.
Par conséquent, les recommandations suivantes doivent être respectées :
· Le statut HLA-B*5701 du patient doit toujours être recherché avant de débuter le traitement.
· Abacavir/lamivudine/zidovudine ne doit jamais être débuté chez les patients ayant un statut HLAB* 5701 positif, ni chez les patients ayant un statut HLA-B*5701 négatif qui ont présenté une suspicion de réaction d’hypersensibilité à l’abacavir au cours d’un traitement précédent contenant de l’abacavir.
· Le traitement par abacavir/lamivudine/zidovudine doit être immédiatement interrompu si une réaction d’hypersensibilité est suspectée, même en l’absence de l’allèle HLA-B*5701. Retarder l’arrêt du traitement par abacavir/lamivudine/zidovudine après l’apparition d’une réaction d’hypersensibilité peut entraîner une réaction menaçant le pronostic vital.
· Après l’arrêt du traitement par abacavir/lamivudine/zidovudine lié à une suspicion de réaction d’hypersensibilité, abacavir/lamivudine/zidovudine ou tout autre médicament contenant de l’abacavir ne doit jamais être réintroduit .
· La reprise d’un traitement contenant de l’abacavir après une suspicion de réaction d'hypersensibilité peut entraîner une réapparition rapide des symptômes en quelques heures. Cette récidive est généralement plus sévère que l'épisode initial et peut entraîner une hypotension menaçant le pronostic vital et conduire au décès.
· Afin d'éviter toute reprise d’abacavir, il sera demandé aux patients ayant présenté une suspicion de réaction d'hypersensibilité, de restituer les comprimés restants d’abacavir/lamivudine/zidovudine.
Description clinique d’une réaction d’hypersensibilité à l’abacavir
Les réactions d’hypersensibilité à l’abacavir ont été bien caractérisées au cours des études cliniques et lors du suivi après commercialisation. Les symptômes apparaissent généralement au cours des six premières semaines de traitement par l'abacavir (le délai médian de survenue est de 11 jours), bien que ces réactions puissent survenir à tout moment au cours du traitement.
La quasi-totalité des réactions d’hypersensibilité à l’abacavir comporte de la fièvre et/ou une éruption cutanée. Les autres signes et symptômes observés dans le cadre de réactions d’hypersensibilité à l’abacavir sont détaillés dans la rubrique 4.8, notamment les symptômes respiratoires et gastro-intestinaux. Attention, de tels symptômes peuvent conduire à une erreur diagnostique entre réaction d’hypersensibilité et affection respiratoire (pneumonie, bronchite, pharyngite) ou gastro-entérite.
Les symptômes liés à cette réaction d’hypersensibilité s’aggravent avec la poursuite du traitement et peuvent menacer le pronostic vital. Ces symptômes disparaissent généralement à l’arrêt du traitement par abacavir.
Dans de rares cas, des patients qui avaient arrêté un traitement par l’abacavir pour des raisons autres que des symptômes de réaction d’hypersensibilité ont également présenté des réactions mettant en jeu le pronostic vital dans les heures suivant la réintroduction du traitement par l’abacavir (voir rubrique 4.8. La reprise de l’abacavir chez ce type de patients doit être effectuée dans un environnement où une assistance médicale est rapidement accessible.
Acidose lactique
Une acidose lactique, associée habituellement à une hépatomégalie et à une stéatose hépatique, a été rapportée après administration de zidovudine. Les symptômes précoces (hyperlactatémie symptomatique) incluent des troubles digestifs bénins (nausées, vomissements et douleurs abdominales), une sensation de malaise général, une perte d'appétit, une perte de poids, des symptômes respiratoires (respiration rapide et/ou profonde) ou neurologiques (incluant un déficit moteur).
L'acidose lactique entraîne une mortalité élevée et peut être associée à une pancréatite, une insuffisance hépatique ou une insuffisance rénale.
L'acidose lactique apparaît généralement après quelques, voire plusieurs, mois de traitement.
Le traitement par zidovudine devra être interrompu en cas d'hyperlactatémie symptomatique et d’acidose métabolique/lactique, d’hépatomégalie évolutive, ou d’élévation rapide des transaminases.
L’administration de zidovudine se fera avec une prudence particulière chez tous les patients (notamment les femmes obèses) ayant une hépatomégalie, une hépatite ou tout autre facteur de risque connu d’atteinte hépatique et stéatose hépatique (y compris certains médicaments ou l'alcool). Les patients co-infectés par l'hépatite C et traités par un interféron-alpha et la ribavirine sont particulièrement exposés.
Les patients à risque élevé devront faire l’objet d’une étroite surveillance.
Dysfonctionnement mitochondrial à la suite d’une exposition in utero
Les analogues nucléosidiques et nucléotidiques peuvent avoir un impact plus ou moins sévère sur la fonction mitochondriale, l’effet le plus marqué étant observé avec la stavudine, la didanosine et la zidovudine. Des cas de dysfonctionnement mitochondrial ont été rapportés chez des nourrissons non infectés par le VIH, exposés in utero et/ou en période post-natale à des analogues nucléosidiques, il s’agissait majoritairement d’associations comportant de la zidovudine. Les effets indésirables principalement rapportés sont des atteintes hématologiques (anémie, neutropénie) et des troubles métaboliques (hyperlactatémie, hyperlipasémie). Ces effets indésirables ont souvent été transitoires. Des troubles neurologiques d'apparition tardive ont été rapportés dans de rares cas (hypertonie, convulsions, troubles du comportement). Le caractère transitoire ou permanent de ces troubles neurologiques n'est pas établi à ce jour. Ces données doivent être prises en compte chez tout enfant exposé in utero à des analogues nucléosidiques ou nucléotidiques, qui présente des manifestations cliniques sévères d’étiologie inconnue, en particulier des manifestations neurologiques. Ces données ne modifient pas les recommandations actuelles nationales quant à l'utilisation d'un traitement antirétroviral chez la femme enceinte dans la prévention de la transmission materno-fœtale du VIH.
Lipoatrophie
Le traitement par zidovudine a été associé à une perte de graisse sous-cutanée, liée à une toxicité mitochondriale. L'incidence et la sévérité de la lipoatrophie sont liées à une exposition cumulée. Cette perte de graisse, qui est la plus visible au niveau du visage, des membres et des fesses, peut être irréversible malgré le passage à un traitement sans zidovudine. Les patients doivent faire l'objet d'un suivi régulier afin de détecter tout signe évocateur d'une lipoatrophie pendant leur traitement par zidovudine ou par des médicaments contenant de la zidovudine. Le traitement doit être remplacé par un autre traitement en cas de suspicion de développement d’une lipoatrophie.
Poids corporel et paramètres métaboliques
Une augmentation du poids corporel ainsi que des taux de lipides et de glucose sanguins peut survenir au cours d'un traitement antirétroviral. De telles modifications peuvent en partie être liées au contrôle de la maladie et au mode de vie. Si, pour les augmentations des taux de lipides, il est bien établi dans certains cas qu’il existe un effet du traitement, aucun lien n’est clairement établi entre une prise de poids et un quelconque traitement antirétroviral. Le contrôle des taux de lipides et de glucose sanguins devra tenir compte des recommandations en vigueur encadrant les traitements contre le VIH. Les troubles lipidiques devront être pris en charge en fonction du tableau clinique.
Effets indésirables hématologiques
Une anémie, une neutropénie ou une leucopénie (généralement secondaire à la neutropénie) peut survenir chez les patients traités par la zidovudine. Ces effets indésirables sont plus fréquents aux doses les plus élevées de zidovudine (1 200-1 500 mg/jour) et chez les patients avec insuffisance médullaire avant le traitement, en particulier à un stade avancé de l’infection par le VIH. Par conséquent, les paramètres hématologiques devront être surveillés avec soin chez les patients traités par Abacavir/Lamivudine/Zidovudine (voir rubrique 4.3). Ces troubles hématologiques ne sont généralement pas observés avant 4 à 6 semaines de traitement. Chez les patients symptomatiques à un stade avancé de la maladie, il est généralement conseillé de réaliser un contrôle hématologique au moins tous les 15 jours pendant le premier trimestre de traitement, puis au moins tous les mois.
Chez les patients traités à un stade précoce de la maladie, les effets indésirables hématologiques sont peu fréquents. Suivant l’état général du patient, la surveillance hématologique peut être moins fréquente, par exemple mensuelle ou trimestrielle. En outre, en cas d’anémie sévère ou de myélosuppression survenant lors du traitement par Abacavir/Lamivudine/Zidovudine Mylan, ou en cas d’insuffisance médullaire préexistante (taux d’hémoglobine < 9 g/dl (5,59 mmol/l) ou taux de neutrophiles inférieur à 1,0 x 109/l) (voir rubrique 4.2), une adaptation des doses de zidovudine peut être recommandée. Dans ce cas, et sachant qu’une adaptation des doses avec une association à dose fixe n’est pas possible, l’administration séparée de la zidovudine, de l’abacavir et de la lamivudine est recommandée. Le médecin devra alors se référer au résumé des caractéristiques du produit correspondant à chaque médicament.
Pancréatite
De rares cas de pancréatite ont été observés chez des patients traités par l’abacavir, la lamivudine ou par la zidovudine. Cependant, les responsabilités respectives de ces traitements médicamenteux et de l'évolution de l'infection par le VIH n'ont pas pu être formellement établies. Le traitement par Abacavir/Lamivudine/Zidovudine doit être interrompu immédiatement en cas de signes cliniques, de symptômes ou d’anomalies biologiques évocateurs de pancréatite.
Atteinte hépatique
Si la lamivudine est utilisée concomitamment pour le traitement de l'infection par le VIH et par le virus de l'hépatite B, des informations supplémentaires sur l'utilisation de la lamivudine dans le traitement de l'hépatite B sont disponibles dans le Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP) de la lamivudine.
La tolérance et l’efficacité d’Abacavir/Lamivudine/Zidovudine n’ont pas été établies chez les patients présentant des troubles sous-jacents significatifs de la fonction hépatique. Abacavir/Lamivudine/Zidovudine n’est pas recommandé chez les patients ayant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (voir rubriques 4.2 et 5.2).
Les patients atteints d'une hépatite chronique B ou C et traités par association d'antirétroviraux présentent un risque accru de développer des effets indésirables hépatiques sévères et potentiellement fatals. En cas d'administration concomitante d'un traitement antiviral de l'hépatite B ou C, veuillez consulter le Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP) de ces médicaments.
Si le traitement par Abacavir/Lamivudine/Zidovudine est interrompu chez des patients co-infectés par le virus de l'hépatite B, il est recommandé de procéder à une surveillance régulière de la fonction hépatique et des marqueurs de la réplication du VHB, l'interruption de la lamivudine pouvant entraîner une exacerbation sévère de l'hépatite (cf. RCP de la lamivudine).
Les patients ayant des troubles préexistants de la fonction hépatique (y compris une hépatite chronique active) ont, au cours d'un traitement par association d'antirétroviraux, une fréquence plus élevée d'anomalies de la fonction hépatique et doivent faire l'objet d'une surveillance appropriée. Chez ces patients, en cas d'aggravation confirmée de l'atteinte hépatique, l'interruption ou l'arrêt du traitement devra être envisagé.
Patients co-infectés par le virus de l'hépatite B ou C
L'utilisation concomitante de ribavirine et de zidovudine n'est pas recommandée en raison d'un risque accru d'anémie (voir rubrique 4.5).
Population pédiatrique
Les données disponibles étant insuffisantes, l'utilisation d’Abacavir/Lamivudine/Zidovudine n’est pas recommandée chez les enfants et les adolescents. En outre, chez ces patients, les réactions d’hypersensibilité sont particulièrement difficiles à évaluer.
Syndrome de Restauration Immunitaire
Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère au moment de l’instauration du traitement par association d’antirétroviraux, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut apparaître et entraîner des manifestations cliniques graves ou une aggravation des symptômes. De telles réactions ont été observées classiquement au cours des premières semaines ou mois suivant l’instauration du traitement par association d’antirétroviraux. Des exemples pertinents sont les rétinites à cytomégalovirus, les infections mycobactériennes généralisées et/ou localisées, et les pneumopathies à Pneumocystis jirovecii . Tout symptôme inflammatoire doit être évalué et un traitement doit être instauré si nécessaire. Des cas d’affections auto-immunes (telle que la maladie de Basedow) ont également été rapportés dans un contexte de restauration immunitaire ; toutefois, le délai de survenue rapporté varie davantage, et peut être de plusieurs mois après l'initiation du traitement.
Ostéonécrose
L’étiologie est considérée comme multifactorielle (incluant l’utilisation de corticoïdes, la consommation d’alcool, une immunosuppression sévère, un indice de masse corporelle élevé). Cependant, des cas d’ostéonécrose ont été rapportés en particulier chez des patients à un stade avancé de la maladie liée au VIH et/ou ayant un traitement par association d’antirétroviraux au long cours. Il est conseillé aux patients de solliciter un avis médical s’ils éprouvent des douleurs et des arthralgies, une raideur articulaire ou des difficultés pour se mouvoir.
Infections opportunistes
Les patients devront être informés qu’Abacavir/Lamivudine/Zidovudine Mylan, comme tout autre traitement antirétroviral, ne guérit pas l’infection par le VIH, et que l’apparition d'infections opportunistes ou d’autres complications liées à l'évolution de l'infection par le VIH reste possible. Aussi, les patients doivent faire l’objet d’une surveillance clinique étroite par un médecin expérimenté dans la prise en charge des patients infectés par le VIH.
Infarctus du myocarde
Des études observationnelles ont montré une association entre l'infarctus du myocarde et la prise d'abacavir. Les sujets étudiés étaient principalement des patients préalablement traités par antirétroviraux. Les données issues des essais cliniques ont mis en évidence un nombre limité d'infarctus du myocarde et ne permettent pas d'exclure une légère augmentation de ce risque. Dans l'ensemble, les données disponibles, issues des cohortes observationnelles et des essais randomisés, présentent un manque de cohérence, et de fait ne permettent ni de confirmer ni de réfuter un lien de causalité entre le traitement par abacavir et le risque d'infarctus du myocarde. À ce jour, aucun mécanisme biologique expliquant une éventuelle augmentation de ce risque n'a été identifié. La prescription d’Abacavir/Lamivudine/Zidovudine doit s’accompagner de mesures visant à réduire tous les facteurs de risque modifiables (par exemple : tabagisme, hypertension et hyperlipidémie).
Transmission
Bien qu’il ait été démontré que l’efficacité virologique d’un traitement antirétroviral réduise considérablement le risque de transmission du VIH par voie sexuelle, un risque résiduel ne peut être exclu. Des précautions doivent être prises conformément aux recommandations nationales afin de prévenir toute transmission.
Interactions médicamenteuses
À ce jour, les données sur l’efficacité et la tolérance d’Abacavir/Lamivudine/Zidovudine co-administré avec des INNTI, ou avec des IP, sont insuffisantes (voir rubrique 5.1).
ABACAVIR/LAMIVUDINE/ZIDOVUDINE MYLAN 300 mg/150 mg/300 mg, comprimé pelliculé ne doit pas être pris avec un autre médicament contenant de la lamivudine ou un médicament contenant de l’emtricitabine.
L'utilisation concomitante de stavudine et de zidovudine doit être évitée (voir rubrique 4.5).
L'association de la lamivudine et de la cladribine n’est pas recommandée (voir rubrique 4.5).
Abacavir / Lamivudine / Zidovudine Mylan contient du sodium
Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par comprimé, c'est-à-dire essentiellement « sans sodium ».
安全プロファイルの概要アバカビル、ラミブジン、ジドブジンによるHIV感染の治療中に、個別にまたは組み合わせて、望ましくない影響が報告されています。. ABACAVIR / LAMIVUDINE / ZIDOVUDINE MYLAN 300 mg / 150 mg / 300 mg、アバカビル、ラミブジン、ジドブジンを含むフィルムコーティング錠。したがって、これらの分子に関連する副作用が予想されます。.
各活性物質で報告された副作用の要約表。
アバカビル、ラミブジン、ジドブジンで報告された副作用を表1に示します。. それらはシステムと臓器によって、絶対頻度で分類されます。.. 頻度は、次のカテゴリに従って定義されます:非常に一般的(> 1/10)、一般的(> 1/100から<1/10)、非一般的(> 1/1000から<1/100)、まれ(> 1 / 10,000から<1 / 1,000)および非常にまれ(<01 / 1。. これらの症状のいずれかが観察された場合、起こり得る過敏反応を排除するように注意する必要があります。.
表1:アバカビル/ラミブジン/ジドブジンマイランの3つの成分のそれぞれで報告された副作用。. アバカビルラミブジンジドブジン重要:アバカビルに対する過敏症に関する情報については、以下の情報と「特定の望ましくない影響の説明」の段落のレベルで参照してください。
アバカビルに対する過敏症血液およびリンパ系障害まれ:好中球減少症、貧血(両方とも重症になることもある)、血小板減少症。.
非常にまれ:赤芽球減少症。. 一般的:貧血、好中球減少症および白血球減少症。.
珍しい:血小板減少症および脊髄低形成を伴う汎血球減少症。.
まれ:赤芽球減少症。.
非常にまれ:再生不良性貧血。. 免疫系障害一般:過敏症。. 代謝と栄養障害一般:拒食症。
非常にまれ:乳酸アシドーシス非常にまれ:乳酸アシドーシスまれ:食欲不振、低酸素血症のない乳酸アシドーシス。. 精神障害まれ:不安、うつ病神経系障害一般的:頭痛。. 一般的:頭痛、不眠症。.
非常にまれ:末 ⁇ 神経障害(感覚異常)。. 非常に一般的:頭痛。.
一般的:めまい。.
まれ:不眠症、感覚異常、眠気、知的視力の低下、けいれん。. 心臓の状態まれ:心筋症。. 呼吸器、胸部および縦隔障害一般的:咳、鼻症状。. 珍しい:呼吸困難。.
まれ:咳。. 胃腸障害一般的:吐き気、 ⁇ 吐、下 ⁇ 。.
まれ: ⁇ 炎。. 一般的:吐き気、 ⁇ 吐、腹痛、下 ⁇ 。.
まれ:高アミラス血症、 ⁇ 炎。. 非常に一般的:吐き気。.
一般的: ⁇ 吐、腹痛、下 ⁇ 。.
珍しい: ⁇ 腸。.
まれ:口腔粘膜の色素沈着、味の変化、消化不良、 ⁇ 炎。. 肝胆道系障害珍しい:肝酵素の一時的な上昇(ASAT、ALAT)。.
まれ:肝炎。. 一般的:肝酵素とビリルビンの血中濃度の上昇。.
まれ:脂肪症を伴う重大な肝腫大などの肝異常。. 皮膚および皮下組織障害一般的:発疹(全身症状なし)。.
非常にまれ:多形紅斑、スティーブンス・ジョンソン症候群、ライエル症候群。. 一般的:発疹、脱毛症。. 珍しい:発疹と ⁇ 。.
まれ:爪や皮膚、じんましん、発汗の色素沈着。. 筋骨格系および結合組織障害一般:関節痛、筋肉障害。.
まれ:横紋筋融解症。. 一般的:筋肉痛。.
珍しい:ミオパシー。. 腎臓および尿路障害まれ:頻尿。. 生殖器系と乳房障害まれ:女性化乳房。. 一般的な障害と投与部位の状態一般的:発熱、 ⁇ 眠、疲労。. 一般的:疲労、 ⁇ 怠感、発熱。. 一般的:不安。.
珍しい:発熱、全身性の痛み、無力症。.
まれ:悪寒、胸の痛み、インフルエンザ様症候群。.
表に記載されている効果のほとんどは、アバカビルに対する過敏反応のある患者で頻繁に発生します(吐き気、 ⁇ 吐、下 ⁇ 、発熱、 ⁇ 眠、発疹)。. したがって、これらの症状のいずれかがある患者では、過敏反応の存在を注意深く調査する必要があります(セクション4.4を参照)。. アバカビルに対する過敏反応の仮説を除外できなかった多形紅斑、スティーブンスジョンソン症候群またはライエル症候群の症例は、ほとんど報告されていません。. これらの場合、アバカビルを含む薬は永久に停止する必要があります。.
特定の望ましくない影響の説明:。
アバカビルに対する過敏症。
アバカビルに対する過敏反応に関連する兆候と症状を以下に示します。. これらは、臨床試験中または市販後のフォローアップ中に特定されました。. 過敏反応のある患者の少なくとも10%で報告された副作用は太字で表示されます。.
過敏反応のほとんどすべての患者で、症候群は発熱および/または発疹(通常は黄斑丘疹またはじんましん)を持っています。. しかし、一部の患者は発熱や発疹のない反応を経験しました。. 過敏症を示唆する他の症状には、消化器、呼吸器、または ⁇ 怠感や ⁇ 怠感などの一般的な症状が含まれます。. スキンラッシュ。 (通常黄斑丘疹またはじんま疹。) 消化管吐き気。, ⁇ 吐。, 下 ⁇ 。, 腹痛。, 口内 ⁇ 瘍呼吸管呼吸困難。, 咳。 , 喉の痛み。, 成人の呼吸 ⁇ 迫症候群。, 呼吸不全さまざまな影響発熱。, 無気力。, 不安。 , 浮腫。, リンパ節腫 ⁇ 。, 低血圧。, 結膜炎。, アナフィラキシー神経学的/精神医学的影響頭痛。, 感覚異常血液学的影響肝臓/ ⁇ 臓リンパ球減少症肝機能検査の高い結果。 , 肝炎。, 肝障害筋骨格系の影響筋肉痛。 , まれに筋融解症。, 関節痛。, クレアチンホスホキナーゼの ⁇ 尿器科クレアチニンの上昇。, 腎不全。
この過敏反応に関連する症状は、治療を継続すると悪化し、生命を脅かす可能性があります。まれに、彼らは致命的でした。.
過敏反応後のアバカビル療法の再開は、数時間以内に症状の急速な再発をもたらします。. この再発は一般に最初のエピソードよりも深刻であり、生命を脅かす低血圧につながり、死に至る可能性があります。. まれなケースです。, 同様の反応は、アバカビルによる治療の再開後の患者でも発生しています。, 彼らが過敏反応を示唆する症状の1つだけを示したとき。 (上記を参照してください。) アバカビルによる治療を中止する前。 ; 以前に過敏症の症状を示さなかったときに治療が再導入された患者でも反応が観察されることはほとんどありません。 (つまり。, 患者は以前アバカビルに耐性があると考えられていました。).
ジドブジンで報告された血液学的影響:。
貧血。, 好中球減少症と白血球減少症。, 高用量でより一般的です。 (1,200-1,500 mg /日。) そして、疾患の進行した段階にあるHIV感染患者。 (特に治療前の脊髄機能障害のある患者。) 特にCD4リンパ球数が100 / mm3未満の被験者。. 用量の削減または治療の中止が必要な場合があります(セクション4.4を参照)。. 貧血は輸血を必要とするかもしれません。.
好中球減少症の発生率は、ジドブジンによる治療の開始時に好中球、ヘモグロビン、ビタミンB12のレベルが低い患者でも高くなります。.
乳酸アシドーシス:。
ジドブジンの投与後、通常は肝腫大および脂肪肝疾患に関連する致命的な乳酸アシドーシスが観察されています(セクション4.4を参照)。.
脂肪 ⁇ 縮。
ジドブジンによる治療は、顔、手足、 ⁇ 部の皮下脂肪の最も目に見える損失と関連していた。. アバカビル/ラミブジン/ジドブジンで治療された患者は、脂肪 ⁇ 縮を示唆する兆候を検出するために頻繁に検査され、質問されるべきです。. 脂肪 ⁇ 縮の発生が証明された場合、アバカビル/ラミブジン/ジドブジンによる治療を継続すべきではありません(セクション4.4を参照)。.
代謝パラメータ。
抗レトロウイルス療法中に体重の増加、脂質と血糖値の上昇が発生する可能性があります(セクション4.4を参照)。.
免疫回復症候群:。
抗レトロウイルス薬の併用で治療を開始するときに重度の免疫不全のHIV感染患者では、無症候性または残存日和見感染症に対する炎症反応が発生することがあります。. 自己免疫状態(ベースドウ病など)も免疫回復のコンテキストで報告されています。ただし、報告される開始までの時間はさらに異なり、これらのイベントは治療開始から数か月後に発生する可能性があります(セクション4.4を参照)。.
骨壊死:。
骨壊死は、特に既知の危険因子、HIV関連疾患の進行期、または抗レトロウイルス薬との長期併用療法のある患者で報告されています。. それらの発生頻度は不明です(セクション4.4を参照)。.
疑わしい副作用の宣言。
薬物の承認後の疑わしい副作用の報告は重要です。. 薬物の利益/リスク比を継続的に監視できます。. 医療専門家は、国家報告システムを介して疑わしい副作用を報告します:医薬品および健康製品の安全のための国家機関(ANSM)および地域ファーマコビジランスセンターのネットワーク-ウェブサイト:www.ansm.sante.fr。.
吸収。
経口投与後、アバカビル、ラミブジン、ジドブジンは消化管にすばやく効果的に吸収されます。. 成人では、アバカビル、ラミブジン、ジドブジンの経口投与後の絶対バイオアベイラビリティは、それぞれ約83%、80〜85%、60〜70%です。.
HIV-1に感染した患者を対象とした薬物動態研究では、ラミブジンとジドブジンを組み合わせた錠剤とアバカビル錠剤を併用した錠剤の同時投与後のアバカビル、ラミブジン、ジドブジンの定常状態の薬物動態パラメーターは、アバカビル/ラミブジンの投与後に測定されたものと同等でした/ジドブジンのみ。. これらのパラメーターは、アバカビル/ラミブジン/ジドブジンを投与されている健康なボランティアの生物学的同等性研究で得られたパラメーターにも匹敵しました。.
ある研究では、アバカビル/ラミブジン/ジドブジン錠剤とアバカビル300 mg錠剤-ラミブジン150 mg錠剤-ジドブジン300 mg錠剤の同時投与の生物学的同等性を評価しました。. 吸収率と吸収率に対する食品の影響も研究されています。. AUC0-∞とCmaxに基づく生物学的同等性は、アバカビル/ラミブジン/ジドブジンとアバカビル300 mg錠剤-ラミブジン150 mg錠剤-ジドブジン300 mg錠剤を別々に投与した同時投与の間で実証されています。. 食品は、アバカビル/ラミブジン/ジドブジンの吸収率を低下させ、Cmaxがわずかに減少し(平均:18-32%)、Tmaxが増加し(約1時間)、吸収率(AUC0-∞)は低下しません。. これらの変化は臨床的に関連があるとは見なされず、アバカビル/ラミブジン/ジドブジンを投与する場合、食事制限は推奨されません。.
推奨用量(1日2回1錠)でのアバカビル/ラミブジン/ジドブジンの投与後に患者で測定されたアバカビル、ラミブジン、ジドブジンのCmaxの定常血漿値(CV)は、3.49μg/ ml(45%)です。 、それぞれ1.33μg/ ml。. 対応するCmin値はアバカビルでは確立できず、ラムブジンの場合は0.14μg/ ml(CV:70%)、ジドブジンの場合は0.01μg/ ml(CV:64%)です。. 12時間の投与範囲におけるアバカビル、ラミブジン、ジドブジンの曲線下の面積の平均値(CV)は、それぞれ6.39μg.h/ ml(31%)、それぞれ5.73μg.h/ ml(31%)および1.50μgです。 h / ml。.
ラミブジンと同時投与すると、ジドブジンのCmax(28%)の適度な増加が観察されました。. ただし、全体的な曝露(AUC)は大幅に変化していません。. ジドブジンはラミブジンの薬物動態に影響を与えません。. アバカビルでは、ジドブジン(20%)とラミブジン(35%)のCmaxの減少が観察されました。.
分布。
アバカビル、ラミブジン、ジドブジンの静脈内注射後の平均分布量は、それぞれ0.8 l / kg、1.3 l / kg、1.6 l / kgです。. 治療用量では、ラミブジンは線形の薬物動態を持っています。. ラミブジンの主血漿タンパク質であるアルブミンへの結合は弱い。. (in vitroで血清アルブミンに結合する<36%)。. ジドブジンの血漿タンパク質への結合は34〜38%です。. In vitro血漿タンパク質結合研究では、アバカビルの治療濃度へのアバカビルのヒト血漿タンパク質への結合が低から中程度(約49%)であることが示されています。. これは、血漿タンパク質結合の置換による薬物相互作用のリスクが低いことを示しています。.
結合部位の置換を伴う相互作用は、アバカビル/ラミブジン/ジドブジンではありそうにありません。.
データは、アバカビル、ラミブジン、ジドブジンが中枢神経系(CNS)の血液脳関門を横切り、脳脊髄液(CSF)に拡散することを示しています。. 経口投与の2〜4時間後、ラミブジンとジドブジンのLCR /血清濃度の平均比率は、それぞれ約0.12と0.50です。. ラミブジンのCNSへの浸透の実際の重要性と臨床的利益との関係は不明です。.
アバカビルを用いた研究では、アバカビルAUC比が「LCR /血漿」の30〜44%であることが示されています。. 濃度ピークに対して測定された値は、アバカビルが1日2回600 mgの用量で投与された場合、アバカビルのCI50値(0.08μg/ mlまたは0.26μM)の9倍です。.
生体内変化。
ラミブジンは代謝が不十分です。. それは主に変化のない形の腎排 ⁇ によって排除されます。. ラミブジンとの代謝薬物相互作用の可能性は、肝代謝の制限(5-10%)と血漿結合レベルの低さのために低いです。.
ジドブジンの5'-グルクロノコンジュゲート化合物は、血漿および尿中レベルで見られる主な代謝物です。. これは、腎臓を介して排 ⁇ される投与量の約50〜80%に相当します。. ジドブジンの別の代謝物である3’-アミノ3’-デオキシチミジン(AMT)は、静脈内投与後に同定されています。.
アバカビルは主に肝臓で代謝されます。. 投与量の約2%が変化せずに腎レベルで排 ⁇ されます。. ヒトでは、アバカビルは主にアルコール脱水素酵素とグルクロニルトランスフェラーゼによって代謝されます。. これにより、5'-カルボン酸と5'-グルクロノコンジュゲートが形成され、尿中に含まれる投与量の約66%を占めます。.
除去。
ラミブジンの消失半減期は5〜7時間です。. ラミブジンの平均全身クリアランスは約0.32 l / h / kgで、有機カチオン輸送システムによる本質的に腎排 ⁇ (> 70%)があります。. 腎障害のある患者を対象とした研究では、腎機能障害があるとラミブジンの排 ⁇ が損なわれることが示されています。. クレアチニンクリアランスが50 ml /分以下の患者では、投与量を減らす必要があります(セクション4.2を参照)。.
静脈内ジドブジンの研究によると、平均終末半減期は1.1時間であり、平均全身クリアランスは1.6 l / h / kgです。. ジドブジンの腎クリアランスは約0.34 l / h / kgであり、糸球体 ⁇ 過と腎活性尿細管分 ⁇ メカニズムを示しています。. ジドブジン濃度は、進行した腎機能障害のある患者で増加します。.
アバカビルの平均半減期は約1.5時間です。. アバカビル(300 mg、1日2回)の反復投与後、アバカビルの有意な蓄積は観察されませんでした。. アバカビルの排除は、肝代謝とそれに続く尿中の代謝産物の排 ⁇ です。. 尿レベルでは、変化のない形のアバカビルとさまざまな代謝産物が投与量の約83%を占め、残りは ⁇ 便で排出されます。.
特別な人口。
肝障害。
薬物動態データは、アバカビル、ラミブジン、ジドブジンを別々に使用して得られました。. 肝硬変患者では、限られたデータで、グルクロン酸抱合の減少により肝障害のある患者でジドブジンの蓄積が発生する可能性があることが示唆されています。. 中等度から重度の肝機能障害のある患者のデータは、ラミブジンの薬物動態が肝機能障害の影響をあまり受けていないことを示しています。.
アバカビルは主に肝臓で代謝されます。. アバカビルの薬物動態は、600 mgの単回投与を受けた軽度の肝機能障害(Child-Pughスコア5-6)の患者で研究されています。 AUCの中央値(間隔)は24.1(10.4〜54.8)µg.h / mlでした。. 結果は、アバカビルのAUCと排 ⁇ 半減期が平均(90%CI)で1.89倍に増加したことを示しています[1.32; 2.70]および1.58 [1.22; 2.04]。. この患者集団におけるアバカビルへの曝露の幅広い変動性のために、軽度の肝機能障害のある患者では、減量に関する決定的な推奨はありません。. アバカビルで得られたデータに基づくと、中等度または重度の肝機能障害のある患者では、アバカビル/ラミブジン/ジドブジンは推奨されません。.
腎障害。
ラミブジンで観察された排 ⁇ 半減期は5〜7時間です。. ラミブジンの平均全身クリアランスは約0.32 l / h / kgで、有機カチオン輸送システムによる本質的に腎排 ⁇ (> 70%)があります。. 腎障害のある患者を対象とした研究では、腎機能障害があるとラミブジンの排 ⁇ が損なわれることが示されています。.
静脈内ジドブジンの研究によると、平均終末半減期は1.1時間であり、平均全身クリアランスは1.6 l / h / kgです。. ジドブジンの腎クリアランスは約0.34 l / h / kgであり、糸球体 ⁇ 過と腎活性尿細管分 ⁇ メカニズムを示しています。. ジドブジン濃度は、進行した腎機能障害のある患者で増加します。.
アバカビルは主に肝臓で代謝され、投与量の約2%が変化せずに尿中に排 ⁇ されます。. 腎機能障害のある末期患者におけるアバカビルの薬物動態は、腎機能が正常な患者の薬物動態と同様です。. したがって、腎障害のある患者では減量は必要ありません。.
腎機能障害(クレアチニンクリアランス≤50 ml /分)の患者では、ラミブジンとジドブジンの用量を調整する必要があるため、アバカビル、ラミブジン、ジドブジンを別々に投与することをお勧めします。. アバカビル/ラミブジン/ジドブジンの投与は、末期腎疾患患者には禁 ⁇ です(セクション4.3を参照)。.
高齢者の被験者。
65歳以上の患者の薬物動態データはありません。.